phrase de Proust

« La beauté des êtres n'est pas comme celle des choses. Nous sentons qu'elle est celle d'une créature unique, consciente et volontaire. »
Ta beauté à toi est particulière, différente, perpétuelle ou éphémère? Je ne sais plus, je ne sais pas.
Alors que j'ai aimai la consommer à outrance parfois, elle m'est devenue étrangère.
Chaque geste est unique, surtout les tiens ils étaient remplis d'amour et me combler. Ta main effleurant mon visage, pour essuyer mes larmes ou pour sentir sur ta paume mon sourire. Ces moments chauds qui me paraissait durer une éternité sont aujourd'hui que des souvenirs.
Quoi penser, comment oublier cette histoire si fusionnelle, pourquoi j'aime l'homme que tu étais et haïs celui que tu es devenu.
Toi si doux, si attentionnée tu est devenu un homme brusque, ou est cet homme qui me serrait dans ses bras jusqu'à m'étouffer d'amour et me remplissait de bonheur à chaque étreinte?
J'aimerai oublier, et recommencer à frémir de plaisir quand tu m'embrassais et que tes mains effleuraient mes hanches. Revivre les mouvements des vagues jusqu'à que l'écume s'échoue sur les sable et qu'on en meut de plaisir.